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Voila quelques temps que je sors avec une fille. On se voit de temps en temps, le jeu est devenu coutume. Plus le temps passe et plus on s'éloigne du sexe "conventionnel". Elle s'amuse à me
résister et j'aime ça. Je m'amuse à lui imposer des choses et à la faire patienter lors de nos ébats… Un échange, une complicité est née. Un soir, elle me dit qu'elle voudrait que je l'attache,
je le fis. Et c'est là que ça a commencé, à coup de crocs dans les bras, une claque sur le cul… Très vite, le jeu devient de plus en plus intense. Au début, je pensais que tout cela était mal,
car cela me faisait penser aux pratiques SM, or pour moi il était hors de question de mettre cette dimension dans ma vie sexuelle. Mais voila que le pas est franchi, et je me retrouve avec des
bleus sur les bras, car elle n'y allait pas de main morte. Son truc à elle, c'était de mordre. Plus elle prenait son pied, plus elle serrait fort... J'étais sa première expérience « nana », mais
en fin de compte c'est elle qui m'a appris beaucoup plus. Un jour, elle m'a avoué qu'elle pratiquait le « Bondage » avec son ex. Je ne connaissais pas, mais j'ai très vite compris comment cela
fonctionnait. Ce pouvoir de contrôle sur l'autre, savoir lui donner du plaisir, connaître la personne au point de savoir à quel moment il faut s'arrêter de jouer, connaître ses soupirs et ses
gémissements, découvrir les plus infimes parties de son anatomie, et savoir où s'aventurer pour ne pas faire mal… Petit à petit, j'étais devenue sa maîtresse et elle ma soumise. J'ai compris à ce
moment là que j'avais besoin de plus dans mes "expériences". Un après midi, après mon travail et alors qu'on discutait toutes les deux sur msn, je ne sais quel mouche l'a piquée. Ce jour là,
tandis qu'elle était avec son patron, elle n'a pas cessé de me provoquer, et pour finir, elle me dit que ce soir là je n'aurai rien. Provocation ou défi? Je l'ai donc invitée à la maison le soir
même, et, ayant préparé une petite surprise pour la malheureuse provocatrice qu'elle était, j’estimais qu’elle avait besoin d'une correction, de quelque chose qui allait la marquer à vie (du
moins pour un long moment de sa vie).
Quand elle est arrivée du travail exténuée par sa journée, je lui avais préparé comme à mon habitude un petit plat délicieux constitué de patates douces, de courgettes, de pommes de terre, de
veau et d’épices... (Elle était aussi ravie de mes talents de cuisinière).
Pendant le repas, je cherchais un moyen de lui faire payer cette insolence qu'elle avait eu dans l'après midi. Je voulais trouver un objet insolite avec lequel je pourrais jouer et lui faire
subir mon châtiment, et comme par magie j'ai découvert cet objet si simple et si inattendu qu’est son pic à cheveux qu'elle venait juste de retirer. Le repas fini, je l'ai regardée avec mon air
si particulier dans ces moments là et je lui dis d'aller sous la douche… D’une voix douce elle me répondit qu'elle n'était pas d'humeur à jouer ce soir, alors je pris mon air grave et un ton
beaucoup plus sévère et lui dit de la fermer. J’ai ajouté que je ne voulais rien savoir, et qu'il fallait juste qu'elle aille sous la douche. Je lui ai également précisé qu’elle devait prendre sa
douche la lumière éteinte et je lui ordonnai de laisser la porte ouverte de quelques centimètres seulement afin qu'elle puisse se décrasser comme une petite "souillon" malpropre. Pendant ce temps
là, je mis une chaise au milieu de ma chambre et dégotai deux paires de lacets trouvés dans une boîte. Je mis quelques bougies, un peu d'encens, puis je pris son pic a cheveux et le mis sur le
lit. J'ai pu trouver aussi une plume et un foulard. Une fois mes préparatifs terminés, je rentrais dans la douche pour savoir si mademoiselle avait fini.« Tu n'as pas terminé? C'est quoi ce
travail ! Finis vite que je puisse m'occuper de toi!– Oui je me dépêche… » Dit-elle d'une voix craintive à l’idée de savoir ce qui allait se passer par la suite. Une fois fini, je pris une
serviette, et, toutes lumières éteintes, je me suis mise à l'essuyer de haut en bas. Chaque parcelle de son corps finit alors par devenir complètement sèche, excepté un endroit où la peau
persistait à rester mouillée. Je l'ai donc enveloppée dans la serviette, je lui mis le bandeau sur les yeux puis je l'ai emmené dans ma chambre pour l'asseoir enfin sur la chaise. Je lui ai
entravé les pieds aux barreaux de la chaise ensuite ce fut au tour de ses mains. Elle était maintenant à ma merci : elle ne voyait rien et ne pouvait plus bouger... Je mis quelques secondes avant
de me mettre à l'action. Je la contemplai tellement le plaisir de la voir ainsi me donnait un sentiment de pouvoir extrême sur elle. J’ai alors commencé par passer ma bouche près de son oreille
afin de lui faire entendre ma respiration et au passage je me suis enivrée de son odeur de "sainte qui touche", un doux parfum de jeune pucelle dévergondée… Je pris la plume et je commençai à la
caresser dans le cou pour la faire frissonner, délicatement, je me mis à enlever la serviette qui continuait à l'envelopper, elle se retrouva nue. Je continuais à la faire frissonner avec la
plume et elle ne savait pas à ce moment là que j'avais en ma possession son pic à cheveux… Hummmmmmm! Je sentais de plus en plus sa respiration s'intensifier, je la voyais rougir et frémir
pendant que je baladais la plume sur toutes les parties visibles de son corps. Je pris alors le pic sur mon lit et j’ai remplacé la plume par la pointe…Surprise! Elle fit un sursaut et un large
sourire en me disant :« Qu'es que c'est?– C'est ton pic à cheveux, très chère!– Hummmm! » Répondit-elle. Et c’est alors que le supplice est devenu jeux de maître… J'ai commencé par la caresser
avec la pointe de cet objet insolite à tous les endroits qui pourraient la mettre dans un état de désir intense, puis je l'ai griffé, fouetté, caressé en alternant douceur et sauvagerie. A un
moment d'extase total, je lui ai libéré une main afin qu'elle puisse à son tour me donner le plaisir que j'attendais, et j'ai mis sa main entre mes cuisses. Je fis un mouvement de vas et viens
pour arriver aux limites de mon plaisir, j'ai retiré sa main trempée pour l'attacher de nouveau, avant de filer dans le salon pour me fumer une cigarette. En attendant, je la laissais cogiter sur
ce qui allait se passer par la suite. Quelques minutes plus tard je suis revenue doucement dans la chambre, sans faire de bruit et je lui mordis le cou, ce qui l'a surprise. Aïe!Je me suis alors
décidée à la détacher de cette chaise pour la mettre sur mon lit (mon lit était une mezzanine dont les pieds ont été coupés, ce qui donne un matelas à hauteur de hanche), et je l’y installai à
90°, les jambes écartées et les mains attachées dans le dos... Je pris le plus intense des plaisirs à utiliser un de mes Sextoys favoris et à intensifier la cadence, lui faisant claquer le cul
autant que possible, et dans un soupir, elle finit par jouir… Une fois fini, je lui ai défait les liens des ses mains et je me plaça en face d'elle, toutes jambes écartées en lui disant : « lèche
maintenant! » J’ai pris à ce moment là le plus intense des plaisirs à lui imposer cette action, ce qui m’a fait partir au septième ciel en un instant…Tous droits réservés © Copyright
lili.maladresse 11/08/2010.
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